2012-05-25, 09:05 PM
Virik ne fit pas de commentaire. Il n’était pas comptable des offenses dés lors que cela ne contrevenait pas à la loi. Et là bien que moralement répréhensible de son point de vue, les actes de monsieur Cuperno ne rentraient pas dans ce qu’il définissait comme son champ d’action professionnel ou sacerdoçale.
Je vous dépose au Lilith monsieur Cuperno. Si vous n’avez plus besoin de moi je vous laisserai accueillir les nouveaux passagers. J’ai à faire. Merci de me transmettre copie de la liste des passagers et des marchandises transportées quand vous en aurez l’occasion.
Il vérifia que son passager était bien installé, son harnais de force verrouillé, avant de mettre les gaz. Ce ne fut cependant pas une course effrénée : Sur les indications de la capitainerie de l’astroport il ramena le commissaire de bord au classe I dont la coque encore nimbée de poussière stellaire, achevait de se réchauffer suite à son court périple entre les étoiles.
Restant aux commandes, laissant le moteur tourner, il attendit que monsieur Cuperno pose pied à terre et s’éloigne de quelques pas. Il l’interpela une dernière fois : monsieur Cuperno, vous avez les coordonnées de mon com. Merci de m’informer dés que vous la connaitrez de notre heure de départ.
Il n’attendit pas de réponse et embraya, lançant sa machine dans une spirale qui l’amena rapidement hors du silo, en plein ciel.
Il prit le temps de composer un message à l’attention du contrôle de vol de la cité. Il s’identifia comme officier de police fédérale de l’Alliance, fit état de son véhicule et demanda une autorisation de trajet en direction de l'hôpital d'Elseneur à vitesse maximale pour test moteur. L’attente fut interminable, presque trente secondes, le temps que les systèmes automatisés demandent une confirmation à un être sensible. Sur le pare-brise l’autorisation arriva enfin, accompagnée par un plan de vol qui empruntant les couloirs d’urgence l’amènerait en une poignée de minute à la clinique où était soigné monsieur Manchu.
Il mit les gaz, poignée en coin, laissant l’autopilote le soin de suivre le plan de vol, se laissant griser par le rugissement rauque des antigravs, par la vitesse qui transformait les autres véhicules, les buildings frôlés, en ombre floues, tout juste aperçues et déjà oubliées dans les holocam arrières.
Ce fut trop court, déjà l’engin ralentissait, l’amenant sagement jusqu’au parking visiteur.
Après une ultime vérification il coupa le moteur, laissant s’éteindre à regret le vrombissement des convertisseurs dans une ultime note de basse.
Il pénétra dans l’hôpital et se mis en devoir de trouver monsieur Manchu et de savoir ce qu’il lui était arrivé …
Je vous dépose au Lilith monsieur Cuperno. Si vous n’avez plus besoin de moi je vous laisserai accueillir les nouveaux passagers. J’ai à faire. Merci de me transmettre copie de la liste des passagers et des marchandises transportées quand vous en aurez l’occasion.
Il vérifia que son passager était bien installé, son harnais de force verrouillé, avant de mettre les gaz. Ce ne fut cependant pas une course effrénée : Sur les indications de la capitainerie de l’astroport il ramena le commissaire de bord au classe I dont la coque encore nimbée de poussière stellaire, achevait de se réchauffer suite à son court périple entre les étoiles.
Restant aux commandes, laissant le moteur tourner, il attendit que monsieur Cuperno pose pied à terre et s’éloigne de quelques pas. Il l’interpela une dernière fois : monsieur Cuperno, vous avez les coordonnées de mon com. Merci de m’informer dés que vous la connaitrez de notre heure de départ.
Il n’attendit pas de réponse et embraya, lançant sa machine dans une spirale qui l’amena rapidement hors du silo, en plein ciel.
Il prit le temps de composer un message à l’attention du contrôle de vol de la cité. Il s’identifia comme officier de police fédérale de l’Alliance, fit état de son véhicule et demanda une autorisation de trajet en direction de l'hôpital d'Elseneur à vitesse maximale pour test moteur. L’attente fut interminable, presque trente secondes, le temps que les systèmes automatisés demandent une confirmation à un être sensible. Sur le pare-brise l’autorisation arriva enfin, accompagnée par un plan de vol qui empruntant les couloirs d’urgence l’amènerait en une poignée de minute à la clinique où était soigné monsieur Manchu.
Il mit les gaz, poignée en coin, laissant l’autopilote le soin de suivre le plan de vol, se laissant griser par le rugissement rauque des antigravs, par la vitesse qui transformait les autres véhicules, les buildings frôlés, en ombre floues, tout juste aperçues et déjà oubliées dans les holocam arrières.
Ce fut trop court, déjà l’engin ralentissait, l’amenant sagement jusqu’au parking visiteur.
Après une ultime vérification il coupa le moteur, laissant s’éteindre à regret le vrombissement des convertisseurs dans une ultime note de basse.
Il pénétra dans l’hôpital et se mis en devoir de trouver monsieur Manchu et de savoir ce qu’il lui était arrivé …