2011-11-23, 08:12 PM
Il fallut quelques longues secondes pour qu’on lui réponde … Nous avons fait une pause. Nous remontons à bord. Lieutenante K’trin terminé.
Il leur fallut une dizaine de minutes, mais ils rentrèrent à leur tour à bord. La lieutenante amena khaadaric à sa cabine, s’assura qu’il n’y avait pas d’arme à l’intérieur de celle-ci, referma la porte et le laissa. Elle se mit en quête de Khrys. Elle le trouva en compagnie du commandant, à l’infirmerie. Bien que celle-ci soit « morte », elle regorgeait d’instruments et de drogues.
Ah ! vous voila, vous … Elle nota que le commandant était réveillé. Lui adressa un signe de tête, mais c’était bien à Khrys qu’elle voulait parler. Vous avez plein de problêmes sur les bras, mon petit vieux : votre responsable de la sécurité a grillé ses circuits et je vous embarque dix neuf rescapés. Le nécessaire vital du bord pourra-t-il faire face ? Vous êtes aussi bon psychologue que commissaire de bord ?
Djal et les soldats attaquaient l’amorçage de la dernière bombe : ils avaient rapidement progressé grâce au couloir brulant qu’avait tracé Sémirande à travers le navire …
Le dernier groupe de soldats et de rescapés étaient sur le chemin du retour. Une dizaine de minutes et tout le monde serait à bord.
Mais …
Le soldat qui s’occupait de la console d’armement releva la tête : il avait accès aux détections longues distance. Priorité : signaux multiples en émergence. Position … Il grimaça. Tout autour. Je compte … Trente deux unités. Correction, trente quatre. On nous appelle.
Effectivement du communico tomba une voix hélas trop familière, celle du prince Sikkmakva, dont la voix à l’accent primans distingués résonna sur la passerelle. Méphisto, je constate avec plaisir que vous avez accomplis avec succès la mission que je vous avais confiée. Je tiens à vous remercier personnellement et vous invite à monter à mon bord et à profiter de mon hospitalité.
L'image renvoyait le prince au centre d'une passerelle de commandement qui n'était pas celle de sa nef amirale. On y avait installé son "trône" au pied duquel un Jilm Baser dépenaillé, dodelinant de la tête, était attaché par une courte chaine.
Il leur fallut une dizaine de minutes, mais ils rentrèrent à leur tour à bord. La lieutenante amena khaadaric à sa cabine, s’assura qu’il n’y avait pas d’arme à l’intérieur de celle-ci, referma la porte et le laissa. Elle se mit en quête de Khrys. Elle le trouva en compagnie du commandant, à l’infirmerie. Bien que celle-ci soit « morte », elle regorgeait d’instruments et de drogues.
Ah ! vous voila, vous … Elle nota que le commandant était réveillé. Lui adressa un signe de tête, mais c’était bien à Khrys qu’elle voulait parler. Vous avez plein de problêmes sur les bras, mon petit vieux : votre responsable de la sécurité a grillé ses circuits et je vous embarque dix neuf rescapés. Le nécessaire vital du bord pourra-t-il faire face ? Vous êtes aussi bon psychologue que commissaire de bord ?
Djal et les soldats attaquaient l’amorçage de la dernière bombe : ils avaient rapidement progressé grâce au couloir brulant qu’avait tracé Sémirande à travers le navire …
Le dernier groupe de soldats et de rescapés étaient sur le chemin du retour. Une dizaine de minutes et tout le monde serait à bord.
Mais …
Le soldat qui s’occupait de la console d’armement releva la tête : il avait accès aux détections longues distance. Priorité : signaux multiples en émergence. Position … Il grimaça. Tout autour. Je compte … Trente deux unités. Correction, trente quatre. On nous appelle.
Effectivement du communico tomba une voix hélas trop familière, celle du prince Sikkmakva, dont la voix à l’accent primans distingués résonna sur la passerelle. Méphisto, je constate avec plaisir que vous avez accomplis avec succès la mission que je vous avais confiée. Je tiens à vous remercier personnellement et vous invite à monter à mon bord et à profiter de mon hospitalité.
L'image renvoyait le prince au centre d'une passerelle de commandement qui n'était pas celle de sa nef amirale. On y avait installé son "trône" au pied duquel un Jilm Baser dépenaillé, dodelinant de la tête, était attaché par une courte chaine.