2011-11-05, 04:11 PM
Le Méphisto tournoyait doucement de conserve avec l’épave de l’Or de Sable. La solution qu’ils avaient adoptée était la meilleure compte tenu des moyens qu’ils avaient à leur disposition. Les commandos de la division Nova disposaient de propulseurs individuels, des ceintures-harnais alimentés par des batteries et utilisant une dizaines petits moteurs ioniques haute performance permettant des évolutions acrobatique en zeroG … Mais leur utilisation nécessitait un sacré entrainement, surtout pour la distance qui avait séparé les deux navires.
L’Or de Sable était un transistel civil, un navire marchand, guère différent du Méphisto. Il n’y avait nul signe de vie à son bord. C’est avec un sentiment de gêne que certains envisageaient de monter à son bord dans une entreprise de pillage. Mais peut être que son cadavre technologique pourraient-ils trouver des éléments permettant d’assurer leur survie.
Ceux qui le souhaitaient s’équipèrent sous la supervisassion des soldats qui vérifièrent avec soin leurs combinaisons, leur harnais, leur moyen de communication et … leurs armes. Visiblement ils se tenaient prêt à faire face à une ultime menace Raol’k’r.
Après une courte sortie extravéhiculaire ils pénétrèrent à bord de l’épave. Comme l’avait noté Sémirande de l’extérieur, les ajouts, les modifications faites par les raol’k’r se désagrégeaient. Alors qu’ils flottaient dans les couloirs sans vie du navire cygnan le moindre effleurement des parois soulevait un nuage de nanites morte dans lequel les faisceaux de leurs lampes venaient se perdre.
Ils commencèrent à récupérer à bord ce qui pouvait l’être, ouvrant les panneaux, démontant les relais intacts, pillant la réserve de pièces détachées du bord. Ils trouvèrent sur la passerelle la dépouille du pilote. Une créature hybride, qui ne faisait plus qu’un avec son siège, qui avait été maintenue en vie par un réseau de machines raol’k’r. Ils ne purent déterminer quel avait été son sexe, tant les modifications corporelles avaient été importantes.
Il n’y avait nulle trace à bord du reste de l’équipage …
Leur visite les conduisit dans la salle des machines. Surprise : les varlets étaient toujours opérationnels bien que déconnectés de la grille d’alimentation. Ils fonctionnaient au ralentit … ce qui leur permis de vérifier que les réserves d’A.M. était presque pleines.
Ils firent des allez-retours jusqu’au Méphisto jusqu’à ce que les mécanicien modifient une des trapanelle pour en faire un petit tracteur de charge … leur capacité était limité, mais la distance n’était guère importante.
Khrys était entré dans l’infirmerie. Il pesta : les ordinateurs étaient morts ici aussi, de même que le logimec médical. Il dut se contenter de faire un examen manuel regrettant la béquille technologique sur laquelle il s’était jusque là appuyé. Khaadaric allait bien … physiquement. Mentalement c’était une autre histoire. Khrys n’était pas certain que la personnalité si attachante et équilibrée du lieutenant ait bien résisté à sa fusion mentale avec l’arme des anciens.
Les pièces récupérées leur permirent de gagner du temps sur le planning des réparations. Seize heures après ils faisaient leurs premiers essais moteurs. Le réseau de communication interne était rétabli, le contrôle environnemental était opérationnel, les détecteurs longue portée venaient de revenir en ligne. Ils terminèrent l’expertise de la structure de la coque. Ce n’était pas brillant : ils ne pourraient pas infliger au Méphisto trop de contrainte. Ils devraient limiter leur vitesse à 10 E.A.L pour ne pas prendre de risque.
L’Or de Sable était un transistel civil, un navire marchand, guère différent du Méphisto. Il n’y avait nul signe de vie à son bord. C’est avec un sentiment de gêne que certains envisageaient de monter à son bord dans une entreprise de pillage. Mais peut être que son cadavre technologique pourraient-ils trouver des éléments permettant d’assurer leur survie.
Ceux qui le souhaitaient s’équipèrent sous la supervisassion des soldats qui vérifièrent avec soin leurs combinaisons, leur harnais, leur moyen de communication et … leurs armes. Visiblement ils se tenaient prêt à faire face à une ultime menace Raol’k’r.
Après une courte sortie extravéhiculaire ils pénétrèrent à bord de l’épave. Comme l’avait noté Sémirande de l’extérieur, les ajouts, les modifications faites par les raol’k’r se désagrégeaient. Alors qu’ils flottaient dans les couloirs sans vie du navire cygnan le moindre effleurement des parois soulevait un nuage de nanites morte dans lequel les faisceaux de leurs lampes venaient se perdre.
Ils commencèrent à récupérer à bord ce qui pouvait l’être, ouvrant les panneaux, démontant les relais intacts, pillant la réserve de pièces détachées du bord. Ils trouvèrent sur la passerelle la dépouille du pilote. Une créature hybride, qui ne faisait plus qu’un avec son siège, qui avait été maintenue en vie par un réseau de machines raol’k’r. Ils ne purent déterminer quel avait été son sexe, tant les modifications corporelles avaient été importantes.
Il n’y avait nulle trace à bord du reste de l’équipage …
Leur visite les conduisit dans la salle des machines. Surprise : les varlets étaient toujours opérationnels bien que déconnectés de la grille d’alimentation. Ils fonctionnaient au ralentit … ce qui leur permis de vérifier que les réserves d’A.M. était presque pleines.
Ils firent des allez-retours jusqu’au Méphisto jusqu’à ce que les mécanicien modifient une des trapanelle pour en faire un petit tracteur de charge … leur capacité était limité, mais la distance n’était guère importante.
Khrys était entré dans l’infirmerie. Il pesta : les ordinateurs étaient morts ici aussi, de même que le logimec médical. Il dut se contenter de faire un examen manuel regrettant la béquille technologique sur laquelle il s’était jusque là appuyé. Khaadaric allait bien … physiquement. Mentalement c’était une autre histoire. Khrys n’était pas certain que la personnalité si attachante et équilibrée du lieutenant ait bien résisté à sa fusion mentale avec l’arme des anciens.
Les pièces récupérées leur permirent de gagner du temps sur le planning des réparations. Seize heures après ils faisaient leurs premiers essais moteurs. Le réseau de communication interne était rétabli, le contrôle environnemental était opérationnel, les détecteurs longue portée venaient de revenir en ligne. Ils terminèrent l’expertise de la structure de la coque. Ce n’était pas brillant : ils ne pourraient pas infliger au Méphisto trop de contrainte. Ils devraient limiter leur vitesse à 10 E.A.L pour ne pas prendre de risque.