2011-11-01, 07:08 PM
Les travaux commencèrent … par ordre de priorité ils s’attaquèrent au contrôle environnemental : il serait plus simple et plus rapide de travailler une fois la gravité rétablie et si l’on pouvait repressuriser l’ensemble du navire. Les commandos donnèrent un coup de main, remplaçant les joints, comblant les trous parfois millimétrique à l’aide de film et de mousse de colmatage.
Parallèlement les mécaniciens du bord aidés par Gurvan entreprirent de rétablir l’alimentation primaire … Il fallut remplacer les relais grillés, shunter des nod d’alimentation grillés.
Sémirande et Djal s’absorbaient dans la remise en route des communications et des détecteurs, car non seulement ils étaient muets, mais aussi aveugle.
C’était la première phase … Pendant les heures qui défilaient le point de ralliement restait la salle des machines où l’on avait installé le polyperco du commandant et où Khrys se tenait prêt à suppléer par voie médicamenteuse les épuisements et les petites faims par des sandwichs qu’il avait improvisé.
…
Par décision collégiale on réalimenta en priorité l’autocook du salon équipage.
…
Au bout de vingt heures de travail acharné ils purent enfin couper leurs combinaisons, utiliser les petits coins et respirer normalement dans la section équipage. La section « passager » considéré comme non prioritaire n’avait pas été pour l’instant re-pressurisée.
L’alimentation était revenue et ils purent enfin bénéficier d’une lecture directe des détecteurs et réalimenter la radio hyper-onde du bord.
La flotte raol’k’r était belle et bien morte : leurs navires dérivaient sur la trajectoire qu’ils avaient suivi avant d’être rattrapés par le signale d’autodestruction … certains étaient entrés en collision. Ils dérivaient au sein d’un cimetière spatial, dérivant lentement en direction de l’immense nef amirale.
…
Il fallait maintenant s’attaquer à la reprogrammation et à la restauration des ordinateurs de bord et renforcer la structure avant tout essai moteur. Le plus simple serait sans doute de déporter les consoles de pilotage en salle des machines … Ils n’avaient pas la certitude de disposer d’assez de relais : les stocks de pièce détachés étaient presque vides et les mécaniciens avaient entrepris de cannibaliser certaines pièces du bord : devant les protestations des soldats ils laissèrent cette fois tranquille le polyperco du commandant.
Il faudrait encore une vingtaine d’heures pour pouvoir procéder aux premiers essais moteurs.
Autre chose ? Des actions particulières ?
Parallèlement les mécaniciens du bord aidés par Gurvan entreprirent de rétablir l’alimentation primaire … Il fallut remplacer les relais grillés, shunter des nod d’alimentation grillés.
Sémirande et Djal s’absorbaient dans la remise en route des communications et des détecteurs, car non seulement ils étaient muets, mais aussi aveugle.
C’était la première phase … Pendant les heures qui défilaient le point de ralliement restait la salle des machines où l’on avait installé le polyperco du commandant et où Khrys se tenait prêt à suppléer par voie médicamenteuse les épuisements et les petites faims par des sandwichs qu’il avait improvisé.
…
Par décision collégiale on réalimenta en priorité l’autocook du salon équipage.
…
Au bout de vingt heures de travail acharné ils purent enfin couper leurs combinaisons, utiliser les petits coins et respirer normalement dans la section équipage. La section « passager » considéré comme non prioritaire n’avait pas été pour l’instant re-pressurisée.
L’alimentation était revenue et ils purent enfin bénéficier d’une lecture directe des détecteurs et réalimenter la radio hyper-onde du bord.
La flotte raol’k’r était belle et bien morte : leurs navires dérivaient sur la trajectoire qu’ils avaient suivi avant d’être rattrapés par le signale d’autodestruction … certains étaient entrés en collision. Ils dérivaient au sein d’un cimetière spatial, dérivant lentement en direction de l’immense nef amirale.
…
Il fallait maintenant s’attaquer à la reprogrammation et à la restauration des ordinateurs de bord et renforcer la structure avant tout essai moteur. Le plus simple serait sans doute de déporter les consoles de pilotage en salle des machines … Ils n’avaient pas la certitude de disposer d’assez de relais : les stocks de pièce détachés étaient presque vides et les mécaniciens avaient entrepris de cannibaliser certaines pièces du bord : devant les protestations des soldats ils laissèrent cette fois tranquille le polyperco du commandant.
Il faudrait encore une vingtaine d’heures pour pouvoir procéder aux premiers essais moteurs.
Autre chose ? Des actions particulières ?