2011-11-01, 12:47 AM
Khaadaric se laissa mollement flotter dans un coin de la pièce, finissant par se coller à la paroi via sa combinaison vivante. Il ferma les yeux.
Alors que ses ronflements nasillards troublaient le silence ils entreprirent de faire le compte des dommages.
Le plus simple était de se concentrer sur ce qui marchait.
Deux lieux disposaient encore d’énergie : la salle des machines et l’infirmerie. La première parce que son alimentation dépendait directement des varlets et la seconde parce qu’elle disposait de sa propre source d’alimentation autonome, un petit convertisseur de secours.
Autres sources de puissance disponibles, la bulle de Sémirande, dans le hangar et la bulle douze places qu’avait remplacé la flotte impériale lors de leur escale à bord de l’Odin.
L’étanchéité de la coque interne ne semblait pas compromise, sauf dans les zones disposant d’ouvertures sur l’extérieur, les quartiers passagers entre autre.
Le Méphisto ayant été si ce n’est conçu, mais au moins pensé lors de sa dernière refonte complète, pour accueillir un grand nombre d’espèces différentes à son bord, le contrôle environnemental pouvait être remis en route pièce par pièce. Les seuls pièces pour l’instant en bénéficiant étaient les salles disposant d’énergie, à savoir la salle des machines et l’infirmerie. En dehors de ça il allait bientôt faire très froid à bord.
… tout le reste était plus ou moins grillé, court circuité ou nécessitant une réinitialisation manuelle. Les stocks de pièces détachés du bord ne seraient sans doute pas suffisants, mais si on se concentrait sur l’essentiel, si on cannibalisait certains dispositifs ... qui sait.
Quant à la structure même de la coque, c’était la grande inconnue. La coque externe était atteinte, percée. Mais cela n’affectait pas le champ de normalité des varlets. Quant à sa résistance à la contrainte … il serait sans doute nécessaire de trouver un moyen de la rigidifier et de piloter avec délicatesse.
La lieutenante Kat’rin n’avait pas commenté les « ordres » du lieutenant Khaadaric. Elle demanda à ses hommes de commencer à évaluer les dommages, pièces par pièces … A un moment elle jeta un bref de coup d’œil en direction du cocon où Khaadaric dormait. Un coup d’œil pensif … mais pas seulement, qu’intercepta Sémirande.
Alors que ses ronflements nasillards troublaient le silence ils entreprirent de faire le compte des dommages.
Le plus simple était de se concentrer sur ce qui marchait.
Deux lieux disposaient encore d’énergie : la salle des machines et l’infirmerie. La première parce que son alimentation dépendait directement des varlets et la seconde parce qu’elle disposait de sa propre source d’alimentation autonome, un petit convertisseur de secours.
Autres sources de puissance disponibles, la bulle de Sémirande, dans le hangar et la bulle douze places qu’avait remplacé la flotte impériale lors de leur escale à bord de l’Odin.
L’étanchéité de la coque interne ne semblait pas compromise, sauf dans les zones disposant d’ouvertures sur l’extérieur, les quartiers passagers entre autre.
Le Méphisto ayant été si ce n’est conçu, mais au moins pensé lors de sa dernière refonte complète, pour accueillir un grand nombre d’espèces différentes à son bord, le contrôle environnemental pouvait être remis en route pièce par pièce. Les seuls pièces pour l’instant en bénéficiant étaient les salles disposant d’énergie, à savoir la salle des machines et l’infirmerie. En dehors de ça il allait bientôt faire très froid à bord.
… tout le reste était plus ou moins grillé, court circuité ou nécessitant une réinitialisation manuelle. Les stocks de pièces détachés du bord ne seraient sans doute pas suffisants, mais si on se concentrait sur l’essentiel, si on cannibalisait certains dispositifs ... qui sait.
Quant à la structure même de la coque, c’était la grande inconnue. La coque externe était atteinte, percée. Mais cela n’affectait pas le champ de normalité des varlets. Quant à sa résistance à la contrainte … il serait sans doute nécessaire de trouver un moyen de la rigidifier et de piloter avec délicatesse.
La lieutenante Kat’rin n’avait pas commenté les « ordres » du lieutenant Khaadaric. Elle demanda à ses hommes de commencer à évaluer les dommages, pièces par pièces … A un moment elle jeta un bref de coup d’œil en direction du cocon où Khaadaric dormait. Un coup d’œil pensif … mais pas seulement, qu’intercepta Sémirande.