2011-10-30, 11:01 PM
Tout le monde se replia en direction de la salle des machines. Khaadaric referma le vantail du hangar, utilisant les commandes manuelles. Il tenta de repressuriser. … Macache bono! Le joint avait été bouffé par les nanites. Il se dirigea vers le placard d’urgence. Une trousse médicale, un extincteur, une combinaison-nt5 mono-usage, un respirateur, une lampe, un communico de bord, une pile énergétique, une trousse à outils universelle … le sas de secours.
Il avait utilisé ce genre de truc pendant ses classes et un manuel d’instruction sur fiches tri-di était fourni avec : il suffisait d’utiliser la bombe de mousse, de cercler le sas et d’attendre que le film se forme. C’était un sas qui ne permettait que quelques passages : on passait doucement à travers la mince pellicule, laissant celle-ci se reformer derrière soi.
Quelques minutes plus tard il retrouva tout le monde à la salle des machines.
Après avoir vérifié leur identité les mécaniciens les avaient laissé entrer. Visiblement ils faisaient une petite crise de paranoïa. Celle-ci s’expliqua quand ils virent les restes calcinés et fondu des deux logimecs dont l’un était toujours accroché au panneau de commande manuel du varlet. Monsieur Skrublllz (ou était-ce monsieur Skriblllz ?) avait un tentacule sectionné dont l’extrémité était couverte de gel cicatrisant auto durcissant.
Plusieurs panneaux de maintenance étaient ouverts : on avait découpé les fibres de commande, de feedback au chalumeau à plasma et jeté à la va vite des relais de communications sur le sol.
Les deux commandos présents entreprirent de faire leur rapport à leur lieutenante, décrivant l’attaque qu’avait subit le mécanicien, visiblement une simple diversion, pendant que le second tentait d’accéder aux commandes des moteurs.
Un des panzanopèdes, celui qui n’était pas blessé, flotta en leur direction. Je constate que vous êtes tous fonctionnels, bien que de manière sub-optimale pour certains d’entre vous. Vos ordres commandant ?
Il avait utilisé ce genre de truc pendant ses classes et un manuel d’instruction sur fiches tri-di était fourni avec : il suffisait d’utiliser la bombe de mousse, de cercler le sas et d’attendre que le film se forme. C’était un sas qui ne permettait que quelques passages : on passait doucement à travers la mince pellicule, laissant celle-ci se reformer derrière soi.
Quelques minutes plus tard il retrouva tout le monde à la salle des machines.
Après avoir vérifié leur identité les mécaniciens les avaient laissé entrer. Visiblement ils faisaient une petite crise de paranoïa. Celle-ci s’expliqua quand ils virent les restes calcinés et fondu des deux logimecs dont l’un était toujours accroché au panneau de commande manuel du varlet. Monsieur Skrublllz (ou était-ce monsieur Skriblllz ?) avait un tentacule sectionné dont l’extrémité était couverte de gel cicatrisant auto durcissant.
Plusieurs panneaux de maintenance étaient ouverts : on avait découpé les fibres de commande, de feedback au chalumeau à plasma et jeté à la va vite des relais de communications sur le sol.
Les deux commandos présents entreprirent de faire leur rapport à leur lieutenante, décrivant l’attaque qu’avait subit le mécanicien, visiblement une simple diversion, pendant que le second tentait d’accéder aux commandes des moteurs.
Un des panzanopèdes, celui qui n’était pas blessé, flotta en leur direction. Je constate que vous êtes tous fonctionnels, bien que de manière sub-optimale pour certains d’entre vous. Vos ordres commandant ?