2011-10-19, 10:25 AM
L’ogresse inclina la tête, notre mission est tout ce qui m’importe commandant, mais ma responsabilité est de vous protéger contre nos ennemis. Il existe une possibilité pour que les Raol’k’r ait pénétré le système informatique et utilise les enregistrements passés de votre coéquipière, pour projeter cette image et pour vous inciter à agir dans le sens qui les arrange.
Mais il est facile de savoir de quoi il en retourne : je vais envoyer deux de mes hommes à sa cabine avec du matériel de détection et de diagnostique médical. Si elle est en vie, s’il ne s’agit pas d’une marionnette dont les tireurs de ficelles son les Raol’K’r … ce sera quoi ? Un miracle ?
Le regard vengeur sous son cimier d’orichalque, traçant son chemin en trait de feu au rythme des mouvements de sa lance incandescente, Djal tentait de circonvenir les défenses du bord et les cryptages mis en place par les militaires. Pas simple, il s’y était déjà cassé les dents*.
// * (si mes souvenirs sont exacts) Un petit jet sous 5d6 avec intelligence + informatique avec un mod de +3 en raison de la qualité de sa console, de sa connaissance du système ?
Mais ce dont il était certain c’était que ça ne venait pas de l’extérieur. La liaison venait vraiment de la cabine de Sémirande, de son communico interne. Quant à savoir si son ghost avait été infiltré, là ça devenait franchement coton : il lui aurait fallu craquer les pare-feu exotiques et expérimentaux mis en place par le cercle de l’Olive pour éviter ce genre de tentative.
Plus haut, ou plus bas en fonction du révérenciel que l’on utilisait, Khaadaric était plongé dans un semi sommeil.
Bizarre.
Petit à petit, l’arme des anciens prenait de plus en plus de place dans son esprit, établissant une relation symbiotique profonde, interrogeant ses souvenirs, ses connaissances au fur et à mesure quelle terminait sa maturation. En échange elle avait étendu sa perception. C’est ensemble qu’ils avaient perçu les navires noirs et leur tactique d’encerclement, le piège dans le piège, qu’ils leur tendaient en les incitant à se jeter de l’avant dans ce qui semblait un point de faiblesse du dispositif, mais qui, au-delà de la psycho perception humaine cachait une autre escadre destinée à leur bloquer le passage.
Que pouvaient-ils faire ? Pas grand-chose tant qu’ils seraient dans le triche lumière : l’arme avait été conçue pour agir dans l’espace newtonien. A moins d’un abordage elle ne pourrait frapper les navires noirs tant qu’ils navigueraient en pseudo-espace.
Le réveil de Sémirande ne leur échappa pas. Ils gardaient un œil sur tout ce qui se passait à bord, percevant tout ce qui était vivant, notant toute étincelle de vie. Ils s’interrogèrent sur cette machine au système cognitif biologique. Non ce n’était pas une technologie utilisée par leurs ennemis. Etait-ce Khaadaric ? Etait-ce l’arme ? Ils sentaient monter en eux l’excitation du combat, la certitude que le dénouement était proche et que ce qu’ils avaient été programmés à faire, détruire leur ennemi, serait bientôt à leur portée.
Mais il est facile de savoir de quoi il en retourne : je vais envoyer deux de mes hommes à sa cabine avec du matériel de détection et de diagnostique médical. Si elle est en vie, s’il ne s’agit pas d’une marionnette dont les tireurs de ficelles son les Raol’K’r … ce sera quoi ? Un miracle ?
Le regard vengeur sous son cimier d’orichalque, traçant son chemin en trait de feu au rythme des mouvements de sa lance incandescente, Djal tentait de circonvenir les défenses du bord et les cryptages mis en place par les militaires. Pas simple, il s’y était déjà cassé les dents*.
// * (si mes souvenirs sont exacts) Un petit jet sous 5d6 avec intelligence + informatique avec un mod de +3 en raison de la qualité de sa console, de sa connaissance du système ?
Mais ce dont il était certain c’était que ça ne venait pas de l’extérieur. La liaison venait vraiment de la cabine de Sémirande, de son communico interne. Quant à savoir si son ghost avait été infiltré, là ça devenait franchement coton : il lui aurait fallu craquer les pare-feu exotiques et expérimentaux mis en place par le cercle de l’Olive pour éviter ce genre de tentative.
Plus haut, ou plus bas en fonction du révérenciel que l’on utilisait, Khaadaric était plongé dans un semi sommeil.
Bizarre.
Petit à petit, l’arme des anciens prenait de plus en plus de place dans son esprit, établissant une relation symbiotique profonde, interrogeant ses souvenirs, ses connaissances au fur et à mesure quelle terminait sa maturation. En échange elle avait étendu sa perception. C’est ensemble qu’ils avaient perçu les navires noirs et leur tactique d’encerclement, le piège dans le piège, qu’ils leur tendaient en les incitant à se jeter de l’avant dans ce qui semblait un point de faiblesse du dispositif, mais qui, au-delà de la psycho perception humaine cachait une autre escadre destinée à leur bloquer le passage.
Que pouvaient-ils faire ? Pas grand-chose tant qu’ils seraient dans le triche lumière : l’arme avait été conçue pour agir dans l’espace newtonien. A moins d’un abordage elle ne pourrait frapper les navires noirs tant qu’ils navigueraient en pseudo-espace.
Le réveil de Sémirande ne leur échappa pas. Ils gardaient un œil sur tout ce qui se passait à bord, percevant tout ce qui était vivant, notant toute étincelle de vie. Ils s’interrogèrent sur cette machine au système cognitif biologique. Non ce n’était pas une technologie utilisée par leurs ennemis. Etait-ce Khaadaric ? Etait-ce l’arme ? Ils sentaient monter en eux l’excitation du combat, la certitude que le dénouement était proche et que ce qu’ils avaient été programmés à faire, détruire leur ennemi, serait bientôt à leur portée.