2011-10-08, 10:06 AM
// Ca va un peu mieux aujourd’hui … merci de votre patience et de votre compréhension.
Ce navire était bien trop petit pour être le léviathan qu’ils avaient vu en vidéo projection.
Les minutes s’écoulaient, rythmées par les bruits de déglution de Djal … Dans un coin de la projection holographique qu’avait appelé Gurvan un décompte avant visualisation s’égrenait.
02s00, 01s00 …
La coque du Méphisto avait été couverte d’une peinture mimétique, un revêtement dont seuls les militaires avaient le secret ou tout du moins l’usage exclusif par décret impérial.
Non seulement celle-ci pouvait changer de couleur, de texture, mais était aussi photosensible.
Chaque centimètre carré de la coque se composait d’un petit millier de capteur optique. Individuellement la résolution de ces capteurs était assez minable mais multipliée par les centaines de mètres carrés de la surface hémisphérique de la coque c’était une immense lentille, un œil gigantesque à même de percevoir le moindre photon et grâce à un ordinateur NT6 dédié de reconstituer une image tri-di d’un réalisme stupéfiant.
… 00s00
L’image leur bondit à la tête. Un navire noir, couvert de tubulures biomécaniques, sous lesquels on ne pouvait que deviner l’ancienne coque d’un navire impérial. De larges évents s’ouvraient de part et d’autre de sa coque et laissaient échapper une sorte de brume grisâtre.
La brume s’étendait doucement, se diffusant à environ 2 % de la vitesse lumière, finissant par perdre toute visibilité au-delà d’un facteur de dispersion trop important.
Le navire noir au bout de six minutes de cette activité referma ses sabords. La console An-Tac leur signala qu’il venait de rallumer ses varlets. Un instant après il créait un point de vérité et disparaissait de leur vue dans un éclat de lumière octarine.
Ce navire était bien trop petit pour être le léviathan qu’ils avaient vu en vidéo projection.
Les minutes s’écoulaient, rythmées par les bruits de déglution de Djal … Dans un coin de la projection holographique qu’avait appelé Gurvan un décompte avant visualisation s’égrenait.
02s00, 01s00 …
La coque du Méphisto avait été couverte d’une peinture mimétique, un revêtement dont seuls les militaires avaient le secret ou tout du moins l’usage exclusif par décret impérial.
Non seulement celle-ci pouvait changer de couleur, de texture, mais était aussi photosensible.
Chaque centimètre carré de la coque se composait d’un petit millier de capteur optique. Individuellement la résolution de ces capteurs était assez minable mais multipliée par les centaines de mètres carrés de la surface hémisphérique de la coque c’était une immense lentille, un œil gigantesque à même de percevoir le moindre photon et grâce à un ordinateur NT6 dédié de reconstituer une image tri-di d’un réalisme stupéfiant.
… 00s00
L’image leur bondit à la tête. Un navire noir, couvert de tubulures biomécaniques, sous lesquels on ne pouvait que deviner l’ancienne coque d’un navire impérial. De larges évents s’ouvraient de part et d’autre de sa coque et laissaient échapper une sorte de brume grisâtre.
La brume s’étendait doucement, se diffusant à environ 2 % de la vitesse lumière, finissant par perdre toute visibilité au-delà d’un facteur de dispersion trop important.
Le navire noir au bout de six minutes de cette activité referma ses sabords. La console An-Tac leur signala qu’il venait de rallumer ses varlets. Un instant après il créait un point de vérité et disparaissait de leur vue dans un éclat de lumière octarine.