2008-10-12, 08:23 PM
[En attendant que les heures passent]
Ils déjeunèrent rapidement. Madame Norjansk leur demanda de parler de leurs vies, de leurs projets, de la façon dont ils voyaient l'organisation de la croisière. A la remarque du Commandant, elle approcha son auriculaire de celui de Khrys et lui transmit un petit fichier.
Le Guérisseur reçu un appel de l'Evêché, à qui il avait évidemment signalé son arrivée (n'est-ce pas
?). On lui demanda s'il pouvait venir de suite, pour une brève formalité. Le rendez-vous à la police étant encore loin dans l'après-midi, il put acquiescer sans regret. On le fit patienter quelques brêves minutes dans une modeste antichambre, devant une grande porte d'aluminium travaillé et ciselé. Des peintures polychrome venaient parachever ce petit chef d'oeuvre inspiré aux hommes par leur foi. Un homme, visiblement un fonctionnaire sortit, s'inclina devant lui et dit "Vous pouvez entrer, pardonnez-moi d'avoir été si long. Il vous attend." Et l'homme repartit, mais dans le couloir. Le Guérisseur hésita un peu puis finit par pousser la porte, étonnamment légère. "Entrez, mon Père" dit Sa Sainteté Elue l'Archevêque Mathias de Gornic. "Je demande à Denise de nous rejoindre. Voulez-vous une tasse de thé ?" Denise Oprigal entra, emplie de respect. L'Archevêque ne le garda pas longtemps. Le Guérisseur eut la certitude que cet homme lent, affable et remarquablement intelligent voulait se faire sa propre opinion de lui avant que de mettre son paraphe sur les papiers, qu'il lui remit lui-même. "Allez, et que la paix vous accompagne." Denise Oprigal l'accompagna vers la sortie.
Une action ?
Madame, suivie de ses deux nouveaux gardes du corps, se balada en ville ; une promenade étonnamment rationnelle. Elle alla dans tous les parcs, examina méthodiquement les plantes et les arbres, mais juste de ses mains et de ses yeux. Elle ne prit pas le moindre échantillon ni holo. Ce fut, à vrai dire, assez rasoir.
Khrys Edelman suivit-il la visite bucolique, ou bien alla-t-il chercher quelque chose à transporter ?
Ils déjeunèrent rapidement. Madame Norjansk leur demanda de parler de leurs vies, de leurs projets, de la façon dont ils voyaient l'organisation de la croisière. A la remarque du Commandant, elle approcha son auriculaire de celui de Khrys et lui transmit un petit fichier.
Le Guérisseur reçu un appel de l'Evêché, à qui il avait évidemment signalé son arrivée (n'est-ce pas
?). On lui demanda s'il pouvait venir de suite, pour une brève formalité. Le rendez-vous à la police étant encore loin dans l'après-midi, il put acquiescer sans regret. On le fit patienter quelques brêves minutes dans une modeste antichambre, devant une grande porte d'aluminium travaillé et ciselé. Des peintures polychrome venaient parachever ce petit chef d'oeuvre inspiré aux hommes par leur foi. Un homme, visiblement un fonctionnaire sortit, s'inclina devant lui et dit "Vous pouvez entrer, pardonnez-moi d'avoir été si long. Il vous attend." Et l'homme repartit, mais dans le couloir. Le Guérisseur hésita un peu puis finit par pousser la porte, étonnamment légère. "Entrez, mon Père" dit Sa Sainteté Elue l'Archevêque Mathias de Gornic. "Je demande à Denise de nous rejoindre. Voulez-vous une tasse de thé ?" Denise Oprigal entra, emplie de respect. L'Archevêque ne le garda pas longtemps. Le Guérisseur eut la certitude que cet homme lent, affable et remarquablement intelligent voulait se faire sa propre opinion de lui avant que de mettre son paraphe sur les papiers, qu'il lui remit lui-même. "Allez, et que la paix vous accompagne." Denise Oprigal l'accompagna vers la sortie.Une action ?
Madame, suivie de ses deux nouveaux gardes du corps, se balada en ville ; une promenade étonnamment rationnelle. Elle alla dans tous les parcs, examina méthodiquement les plantes et les arbres, mais juste de ses mains et de ses yeux. Elle ne prit pas le moindre échantillon ni holo. Ce fut, à vrai dire, assez rasoir.
Khrys Edelman suivit-il la visite bucolique, ou bien alla-t-il chercher quelque chose à transporter ?