2008-10-10, 08:11 PM
[Gâââârde à vous ! (claquement de talons, ceux qui portent des espadrilles sont dispensés]
Madame Norjansk entra sans cérémonie dans le salon de l'équipage. Au Guérisseur : "Finalement, je prendrais bien un verre. Un truc fort, peut importe si cela a un goût de pétrole."
Elle s'assit sur la table, une jambe pendante. "Elle ne se doute de rien, tant mieux.
Je crois que je commence à comprendre. Ceux qui ont essayé de tuer Daykard et Sémi, et qui auraient assassiné Kolène sans l'ombre d'un remord ; eh bien ces gens sont ce qui me reste de famille. Des arrières petits cousins, neveux et j'en passe. J'ai légué mon entreprise à mon personnel. Selon toute apparence, ils se sont infiltrés chez moi sous couvert de polymorpheurs et ont fait croire à mes employés que je laissais la baraque sans pilote. Ca a marché. En fait, ils voulaient m'empêcher de partir. Il y a une vieille loi qui dit que tout Trégratien décédant aux Grâces ne peut spolier sa famille. Elle n'est jamais appliquée, mais est toujours en vigueur. Mes Fidèles Légistes ne m'en avaient pas parlé. Tiens, c'est à creuser, cela." Elle tendit son verre au Guérisseur. "Bon, ils voulaient m'enlever, me ramener aux Grâces, me tuer et passer à la caisse. Ils ont du réfléchir à un stratagème pour que cela ne leur retombe pas dessus. Une des femmes qui ont été brûlées est la mère de Solène. L'étron qui a été paralysé est son père. Deux délinquants de première. Tellement pourris qu'on leur a retiré Solène alors qu'elle avait trois ans. Elle m'avait été confiée, je l'ai faite élever par une nourrice. Ses parents s'étaient soi-disant amendés, et étaient censés vivre sur Tréfolia, où on devait la laisser. Eh bien on en aurait fait une belle. Bien. Mon père, combien de temps pour les adoptions ? Trais jours, ça ira ?"
Madame Norjansk entra sans cérémonie dans le salon de l'équipage. Au Guérisseur : "Finalement, je prendrais bien un verre. Un truc fort, peut importe si cela a un goût de pétrole."
Elle s'assit sur la table, une jambe pendante. "Elle ne se doute de rien, tant mieux.
Je crois que je commence à comprendre. Ceux qui ont essayé de tuer Daykard et Sémi, et qui auraient assassiné Kolène sans l'ombre d'un remord ; eh bien ces gens sont ce qui me reste de famille. Des arrières petits cousins, neveux et j'en passe. J'ai légué mon entreprise à mon personnel. Selon toute apparence, ils se sont infiltrés chez moi sous couvert de polymorpheurs et ont fait croire à mes employés que je laissais la baraque sans pilote. Ca a marché. En fait, ils voulaient m'empêcher de partir. Il y a une vieille loi qui dit que tout Trégratien décédant aux Grâces ne peut spolier sa famille. Elle n'est jamais appliquée, mais est toujours en vigueur. Mes Fidèles Légistes ne m'en avaient pas parlé. Tiens, c'est à creuser, cela." Elle tendit son verre au Guérisseur. "Bon, ils voulaient m'enlever, me ramener aux Grâces, me tuer et passer à la caisse. Ils ont du réfléchir à un stratagème pour que cela ne leur retombe pas dessus. Une des femmes qui ont été brûlées est la mère de Solène. L'étron qui a été paralysé est son père. Deux délinquants de première. Tellement pourris qu'on leur a retiré Solène alors qu'elle avait trois ans. Elle m'avait été confiée, je l'ai faite élever par une nourrice. Ses parents s'étaient soi-disant amendés, et étaient censés vivre sur Tréfolia, où on devait la laisser. Eh bien on en aurait fait une belle. Bien. Mon père, combien de temps pour les adoptions ? Trais jours, ça ira ?"