2006-10-17, 09:25 AM
Gâce à l'aide de chacun et notamment des deux Malachites adolescents, le rythme des évacuations a pu franchement s'accélérer.
Bien sûr, Khrys a eu la saugrenue lubie de transporter, à l'aide d'un mini-formec spécialisé, un conteneur rempli de coquillages jusqu'aux cales pourtant déjà sursaturées du Mephisto. Bien sûr, Arcus Bala a pris le temps de démonter quelques mémoires du système du Zion qui auraint pu compléter les infos déjà recueillies par Chubby. Enfin, Casey a fini son petit tour et rapporté à bord du Mephisto, l'air désabusé, le cadre et la photo de Carl Vigo.
Malgré tout cela, il y a toujours eu au moins 6 personnes à s'occuper de l'évacuation et le tout est environ bouclé en 4 heures.
Evidemment, à bord du Mephisto, c'est le chaos intégral. Une soixantaine de personnes, tout sauf autonomes, viennent d'embarquer. Il faut improviser des couchettes, des toilettes... heureusement (si on peut dire...), réclamer à boire et à manger est le dernier de leur soucis.
Déjà, dans l'espace partiellement envahi des clients Mamalchites, la belle-mère se plaint d'étouffer et de respirer un air vicié. Sans doute exagère-t-elle mais peut-être aussi ne fait-elle qu'anticiper la réalité de quelques heures ?
Pendant ces 4 heures, les échanges avec le Trident ont été des plus réduits. Depuis la dernière communication de Sémirande, pas de nouvelle du croiseur du Pacte d'Airain.
Dernière le dernier réfugié soutenu par Cédrante et Pardang, le Zion n'est plus qu'une coquille vide empestant la mort et le désespoir.
La principale question qui se pose maintenant à l'équipage du Mephisto est : où aller ?
Bien sûr, Khrys a eu la saugrenue lubie de transporter, à l'aide d'un mini-formec spécialisé, un conteneur rempli de coquillages jusqu'aux cales pourtant déjà sursaturées du Mephisto. Bien sûr, Arcus Bala a pris le temps de démonter quelques mémoires du système du Zion qui auraint pu compléter les infos déjà recueillies par Chubby. Enfin, Casey a fini son petit tour et rapporté à bord du Mephisto, l'air désabusé, le cadre et la photo de Carl Vigo.
Malgré tout cela, il y a toujours eu au moins 6 personnes à s'occuper de l'évacuation et le tout est environ bouclé en 4 heures.
Evidemment, à bord du Mephisto, c'est le chaos intégral. Une soixantaine de personnes, tout sauf autonomes, viennent d'embarquer. Il faut improviser des couchettes, des toilettes... heureusement (si on peut dire...), réclamer à boire et à manger est le dernier de leur soucis.
Déjà, dans l'espace partiellement envahi des clients Mamalchites, la belle-mère se plaint d'étouffer et de respirer un air vicié. Sans doute exagère-t-elle mais peut-être aussi ne fait-elle qu'anticiper la réalité de quelques heures ?
Pendant ces 4 heures, les échanges avec le Trident ont été des plus réduits. Depuis la dernière communication de Sémirande, pas de nouvelle du croiseur du Pacte d'Airain.
Dernière le dernier réfugié soutenu par Cédrante et Pardang, le Zion n'est plus qu'une coquille vide empestant la mort et le désespoir.
La principale question qui se pose maintenant à l'équipage du Mephisto est : où aller ?