2011-05-05, 09:10 PM
// Incroyable quand même la prévoyance des personnages et des joueurs …
Gurvan respira profondément, laissant une partie de son esprit divaguer, à l’écoute de ses sensations, de son instinct … Le reste de ses pensées se concentrait sur la grotte, sur ses capteurs.
Ils se trouvaient dans une vaste caverne au sol sableux dont les cristaux de calcites brillaient dans les lueurs dansantes des trois petites lampes à huile, uniques source de lumière.
Ses optiques utilisaient les moindres photons disponibles pour reconstituer une image décente et exploitable. Dans la vaste grotte où l’épave s’était finalement échouée, il y avait douze ouvertures en plus de celle qu’ils avaient empruntée. Ce n’était pas tout : Maintenant qu’il y prêtait attention des niches avaient été creusées dans la roche, ça et là, des stalagmites et des stalactites avaient été sculptées en motifs géométriques abstraits.
Gurvan fit un panoramique complet et c’est à ce moment là qu’il vit monsieur Baser. Ce dernier fixait avec une intensité inquiétante les runes fluorescentes, ses lèvres bougeant en silence. Ca ne dura qu’un instant, il sentit le regard de Gurvan et lui jeta un rapide coup d’œil, avant de se diriger, le visage fermé, en direction de Khaadaric. Arrivé à quelques pas de lui, il chercha son ombre des yeux et chuchota au soldat : Monsieur Khaadaric ? Pouvez-vous vous assurer que notre chemin de sortie n’est pas bloqué ? Et flinguer préventivement les bestioles gluantes ? Sans vous commander ?
Pendant ce temps l’homme répondait à Khrys. Hagard, il désigna sa poitrine à l’endroit où se serait trouvé son nom sur un uniforme, mais rien n’était noté sur sa combinaison de vol noire.
Mayaul ? Je m’appelle Mayaul. Où sont-ils ? vous les avez chassé ?
Djal se démenait … il allait lui falloir une bonne demi-heure pour le libérer sans le blesser plus qu’il ne l’était.

Gurvan respira profondément, laissant une partie de son esprit divaguer, à l’écoute de ses sensations, de son instinct … Le reste de ses pensées se concentrait sur la grotte, sur ses capteurs.
Ils se trouvaient dans une vaste caverne au sol sableux dont les cristaux de calcites brillaient dans les lueurs dansantes des trois petites lampes à huile, uniques source de lumière.
Ses optiques utilisaient les moindres photons disponibles pour reconstituer une image décente et exploitable. Dans la vaste grotte où l’épave s’était finalement échouée, il y avait douze ouvertures en plus de celle qu’ils avaient empruntée. Ce n’était pas tout : Maintenant qu’il y prêtait attention des niches avaient été creusées dans la roche, ça et là, des stalagmites et des stalactites avaient été sculptées en motifs géométriques abstraits.
Gurvan fit un panoramique complet et c’est à ce moment là qu’il vit monsieur Baser. Ce dernier fixait avec une intensité inquiétante les runes fluorescentes, ses lèvres bougeant en silence. Ca ne dura qu’un instant, il sentit le regard de Gurvan et lui jeta un rapide coup d’œil, avant de se diriger, le visage fermé, en direction de Khaadaric. Arrivé à quelques pas de lui, il chercha son ombre des yeux et chuchota au soldat : Monsieur Khaadaric ? Pouvez-vous vous assurer que notre chemin de sortie n’est pas bloqué ? Et flinguer préventivement les bestioles gluantes ? Sans vous commander ?
Pendant ce temps l’homme répondait à Khrys. Hagard, il désigna sa poitrine à l’endroit où se serait trouvé son nom sur un uniforme, mais rien n’était noté sur sa combinaison de vol noire.
Mayaul ? Je m’appelle Mayaul. Où sont-ils ? vous les avez chassé ?
Djal se démenait … il allait lui falloir une bonne demi-heure pour le libérer sans le blesser plus qu’il ne l’était.