2011-04-18, 09:01 PM
L’Espérance était une antique barge à ver qui, avant la redécouverte des moteurs à explosion, avait été le seul moyen de se déplacer sur les étendues d’eau de Paraji en faisant fi du courant, des marées et du vent.
La barge de bois était propulsées par deux grands vers aquatiques dont les corps longiforme amarrés par des harnais souples a bâbord et tribord, se tordaient dans l’eau limoneuse. En discutant avec le capitaine, Ils apprirent que ces vers filtraient l’eau pour en retirer les aliments dont ils se nourrissaient, agissant pour se propulser comme des turbines vivantes.
Deux maîtres vermiers tenaient sur des strapontins de bois d’aspect précaire, de part et d’autre de la péniche, dominant l’eau. Ils tenaient entre leurs mains des longes colorées collées aux centres sensitifs des vers, permettant de les contrôler. Ils étaient à demi-nu, couverts d’une épaisse couche de graisse, prêt à plonger pour recoller un des rênes ou refixer un harnais.
On les mena à l’entrepont.
On avait aménagé pour eux les quartiers de l’équipage. On leur avait libéré la dizaine de couchettes superposées, les coffres, la table basse entourée de deux longs bancs. La dizaine de marins qui composés l’équipage logeaient dorénavant sur le pont sous des tentes.
Monsieur Baser avait insisté pour que tout le monde, à l’exception des panzanopèdes se joigne à l’expédition.
Il avait pris Monsieur Edelman à part.
Monsieur le commissaire ? Puis-je vous dire un mot ? … Il emmené avec lui dans les couloirs du Méphisto, marchant d’un pas badin …Monsieur Edelman, je tiens à ce que vous nous accompagnez. Je sais qu’il existe des indigènes sur ce monde, et il n’est pas exclu que nous les rencontrions. Il haussa les épaules. C’est peu probable, mais sait-on jamais. Dans ce cas vos talents de négociateur, votre connaissance des cultures étrangères nous seront utiles. N’êtes-vous pas d’accord ?
Pour les autres : qu’emmenez vous avec vous ? Je vous rappelle que vos équipements technologiques se verront implantés d’un mouchard qui signalera tout usage et devra donner lieu à justification à votre retour à l’astroport.
La barge de bois était propulsées par deux grands vers aquatiques dont les corps longiforme amarrés par des harnais souples a bâbord et tribord, se tordaient dans l’eau limoneuse. En discutant avec le capitaine, Ils apprirent que ces vers filtraient l’eau pour en retirer les aliments dont ils se nourrissaient, agissant pour se propulser comme des turbines vivantes.
Deux maîtres vermiers tenaient sur des strapontins de bois d’aspect précaire, de part et d’autre de la péniche, dominant l’eau. Ils tenaient entre leurs mains des longes colorées collées aux centres sensitifs des vers, permettant de les contrôler. Ils étaient à demi-nu, couverts d’une épaisse couche de graisse, prêt à plonger pour recoller un des rênes ou refixer un harnais.
On les mena à l’entrepont.
On avait aménagé pour eux les quartiers de l’équipage. On leur avait libéré la dizaine de couchettes superposées, les coffres, la table basse entourée de deux longs bancs. La dizaine de marins qui composés l’équipage logeaient dorénavant sur le pont sous des tentes.
Monsieur Baser avait insisté pour que tout le monde, à l’exception des panzanopèdes se joigne à l’expédition.
Il avait pris Monsieur Edelman à part.
Monsieur le commissaire ? Puis-je vous dire un mot ? … Il emmené avec lui dans les couloirs du Méphisto, marchant d’un pas badin …Monsieur Edelman, je tiens à ce que vous nous accompagnez. Je sais qu’il existe des indigènes sur ce monde, et il n’est pas exclu que nous les rencontrions. Il haussa les épaules. C’est peu probable, mais sait-on jamais. Dans ce cas vos talents de négociateur, votre connaissance des cultures étrangères nous seront utiles. N’êtes-vous pas d’accord ?
Pour les autres : qu’emmenez vous avec vous ? Je vous rappelle que vos équipements technologiques se verront implantés d’un mouchard qui signalera tout usage et devra donner lieu à justification à votre retour à l’astroport.