2011-03-26, 08:59 AM
Le trisonar fonctionnait par faisceau linéaire, un faisceau puissant qui faisait résonner par impulsion sur la gamme de fréquence hyperonde et qui par lecture des échos renvoyés permettait de déterminer la densité des objets … La lecture faite par ordinateur et par certains mentats spécialisés (les célèbres ‘cerveaux d’or’ de la Marine Impériale) permettait de différencier les êtres vivants, leur taille, leur masse, les objets dur, et ce même au sein de milieux homogènes opaques.
Le soucis c’était cette histoire de faisceau linéaire. Les deux mécaniciens restés à bord se concertèrent un instant. Ils dirigèrent le trisonar du Méphisto en direction de l’espace. La visée se fit sur un satellite naturel, une petite lune, un astre mort rocheux.
Capitaine. Tenez-vous prêt. Une impulsion dans 4,3,2,1, top.
BOOOA ! L’impulsion unique, presque un coup de fleur de la mort, fila vers en direction de la lune, selon un angle légèrement décalé, pénétra le cœur de l’astre, se réverbéra et … fût renvoyer en direction d’Estébois, frappant la zone ou se trouvait l’équipage du Méphisto.
C’était presque une détonation que perçu Djal sur ses capteurs. Heureusement prévenu il avait adapté son soft, pour passer d’une détection passive à active.
BOOOOOOA ! L’impulsion avait été un peu atténuée, diffusée, polluée, mais c’était plus que suffisant. Tout ce qui se trouvait dans un rayon de 3000 mètres entra en résonnance, renvoyant aux capteurs, au réseau qu’avait mis Djal en place une avalanche d’informations.
La console du briseur de codes s’affola, digéra, avant de recracher des informations. Il y avait plusieurs centaines d’êtres humains dans la zone. Beaucoup de vie aussi, dont des créatures sous marines de forme allongées de plus d’une dizaine de mètres de longueur.
Mais combien d’êtres humains se trouvaient-ils sous l’eau ? Un seul : il était proche de la rive, à un endroit ou un navire, une sorte de vedette, était amarré en amont à deux kilomètres.
Le soucis c’était cette histoire de faisceau linéaire. Les deux mécaniciens restés à bord se concertèrent un instant. Ils dirigèrent le trisonar du Méphisto en direction de l’espace. La visée se fit sur un satellite naturel, une petite lune, un astre mort rocheux.
Capitaine. Tenez-vous prêt. Une impulsion dans 4,3,2,1, top.
BOOOA ! L’impulsion unique, presque un coup de fleur de la mort, fila vers en direction de la lune, selon un angle légèrement décalé, pénétra le cœur de l’astre, se réverbéra et … fût renvoyer en direction d’Estébois, frappant la zone ou se trouvait l’équipage du Méphisto.
C’était presque une détonation que perçu Djal sur ses capteurs. Heureusement prévenu il avait adapté son soft, pour passer d’une détection passive à active.
BOOOOOOA ! L’impulsion avait été un peu atténuée, diffusée, polluée, mais c’était plus que suffisant. Tout ce qui se trouvait dans un rayon de 3000 mètres entra en résonnance, renvoyant aux capteurs, au réseau qu’avait mis Djal en place une avalanche d’informations.
La console du briseur de codes s’affola, digéra, avant de recracher des informations. Il y avait plusieurs centaines d’êtres humains dans la zone. Beaucoup de vie aussi, dont des créatures sous marines de forme allongées de plus d’une dizaine de mètres de longueur.
Mais combien d’êtres humains se trouvaient-ils sous l’eau ? Un seul : il était proche de la rive, à un endroit ou un navire, une sorte de vedette, était amarré en amont à deux kilomètres.