2011-02-21, 09:16 PM
Le logimec spécialisé se détacha une fois de plus du plafond, se dirigeant avec célérité vers le second pilote. Il activa ses sondes spécialisées, de minces fils qui se connectèrent aux ports dissimulés du cyborg. Il bourdonna vérifiant, testant, lançant une série de requêtes.
Le résultat était sans appel.
Cette fois ci Sémirande était bien partie.
Son cerveau avait grillé, une brusque décharge énergétique inexpliquée s’était produite, tuant instantanément toute cellule nerveuse.
Le logimec téléchargea les logs, les transmettant au fur et à mesure de ses investigations à Gurvan qui, les yeux brouillés par les larmes, mais l’esprit clair recevait impitoyablement les informations par son plot vertébral.
Les logs faisaient apparaître que Sémirande avait un peu plus tôt, peu de temps après qu’ils soient arrivés à bord du Méphisto, débranché tous ses systèmes de sécurité, tous les gardes fous technologiques qui devait protéger la dernière partie organique de son corps artificiel.
Pourquoi ? Difficile à dire … Les logs révélèrent que ce n’était pas la première fois. Il y a plusieurs jours, une éternité semblait-il, alors qu’ils étaient encore sur Tortuga elle l’avait déjà fait, avant de remettre les sécurités en place.
Mais là elle ne l’avait pas fait. Un oubli ? Peut-être. Un acte manqué ? Qui sait. Un sabotage extérieur ? Certainement pas … C’était un accident tragique, une suite d’évènements qui pris les uns séparés des autres n’étaient pas fatals qui en se conjuguant avaient conduit à la mort de leur coéquipière.
Il n’y avait plus rien à faire. Le petit logimec regagna son emplacement alors que la voix désincarné d’Epstar constatait le décès, donnant l’heure, le jour, le nom et le grade de Sémirande, ainsi que la cause apparente de la mort. Il y avait de la résignation et de la tristesse dans la voix de la personae.
// Quelqu’un averti Khrys ? Djal ? Monsieur Baser ? Les mécaniciens ?
« Le sergent », celui qui s’était fait passé pour un officier de la prévoté et avait planté Khaadaric vit ce dernier approcher avec une lueur de panique dans les yeux.
Du, du calme … j’suis pour rien moi dans sa mort. J’suis attaché, voyez bien.
J’y suis pour rien ! J’coopère, rien à cacher moi !
C’est un type qui nous a engagés. Un type habillé en marin que l’on a rencontré au à l’Amiral Benbow. Il cherchait un petit groupe pour faire sa fête à un groupe d’extérieurs. On devait pas vous tuer : juste vous choper et vous embarquer, particulièrement le drôle de type qui venait de sortir de la zonzon ! J’suis pour rien : c’est l’autre que vous devriez interroger. Moi j’ai juste pris l’argent. On sait même pas son nom à ce gars. Borken il disait s’appeler, mais les noms …
Le résultat était sans appel.
Cette fois ci Sémirande était bien partie.
Son cerveau avait grillé, une brusque décharge énergétique inexpliquée s’était produite, tuant instantanément toute cellule nerveuse.
Le logimec téléchargea les logs, les transmettant au fur et à mesure de ses investigations à Gurvan qui, les yeux brouillés par les larmes, mais l’esprit clair recevait impitoyablement les informations par son plot vertébral.
Les logs faisaient apparaître que Sémirande avait un peu plus tôt, peu de temps après qu’ils soient arrivés à bord du Méphisto, débranché tous ses systèmes de sécurité, tous les gardes fous technologiques qui devait protéger la dernière partie organique de son corps artificiel.
Pourquoi ? Difficile à dire … Les logs révélèrent que ce n’était pas la première fois. Il y a plusieurs jours, une éternité semblait-il, alors qu’ils étaient encore sur Tortuga elle l’avait déjà fait, avant de remettre les sécurités en place.
Mais là elle ne l’avait pas fait. Un oubli ? Peut-être. Un acte manqué ? Qui sait. Un sabotage extérieur ? Certainement pas … C’était un accident tragique, une suite d’évènements qui pris les uns séparés des autres n’étaient pas fatals qui en se conjuguant avaient conduit à la mort de leur coéquipière.
Il n’y avait plus rien à faire. Le petit logimec regagna son emplacement alors que la voix désincarné d’Epstar constatait le décès, donnant l’heure, le jour, le nom et le grade de Sémirande, ainsi que la cause apparente de la mort. Il y avait de la résignation et de la tristesse dans la voix de la personae.
// Quelqu’un averti Khrys ? Djal ? Monsieur Baser ? Les mécaniciens ?
« Le sergent », celui qui s’était fait passé pour un officier de la prévoté et avait planté Khaadaric vit ce dernier approcher avec une lueur de panique dans les yeux.
Du, du calme … j’suis pour rien moi dans sa mort. J’suis attaché, voyez bien.
J’y suis pour rien ! J’coopère, rien à cacher moi !
C’est un type qui nous a engagés. Un type habillé en marin que l’on a rencontré au à l’Amiral Benbow. Il cherchait un petit groupe pour faire sa fête à un groupe d’extérieurs. On devait pas vous tuer : juste vous choper et vous embarquer, particulièrement le drôle de type qui venait de sortir de la zonzon ! J’suis pour rien : c’est l’autre que vous devriez interroger. Moi j’ai juste pris l’argent. On sait même pas son nom à ce gars. Borken il disait s’appeler, mais les noms …