2010-10-31, 06:55 PM
Disons le, ce matos militaire était à la hauteur de sa réputation. Fait pour affronter le champs de bataille il encaissa le déluge de flamme avec stoïcisme, avertissant son porteur que les batteries seraient à plat d'ici une vingtaine de minutes à ce régime. De toute façon les flammes refluaient déjà. La plupart des matériaux étaient ininflammables, les foyers persistants commençaient à être éteint par les sprinklers à azote du plafond. Sémirande glissa un œil en dehors de son refuge ... le couloir était noir de suie, des flammèches courraient encore, les lumières s'étaient éteintes et à l'extrémité du couloir elle entraperçu des kiffs qui se roulaient au sol, en flamme. Il y avait des corps aussi et une épaisse fumée noire et grise qui s'accumulait au plafond. Une peinture médiévale d'un enfer peuplé de damnés.
Khaadaric tenta de se relever. Il avait mal. Les flammes ne lui avaient pas fait beaucoup de mal, mais le choc avait été rude. Il avait littéralement traversé le toit d'un wagon qui s'était ensuite renversé sur le flanc, l'immobilisant sous plusieurs centaines de kilogramme d'acier et de matériaux composites tordus. Les indications visibles dans son casque lui indiquait qu'il s'était luxé un genoux et qu'un de ses bras subissait actuellement une pression de l'ordre d'une 700 kg au cm carré. La combinaison énergétique compensait. IL ramena l'autre bras sous lui, cherchant un appuis. Le champ de force de son armure accompagna son mouvement, l'amplifia, lui permettant d'exercer une poussée de plusieurs tonnes. Lentement, mais de manière irrésistible, il se releva, émergeant des décombres, repoussant d'un mouvement d'épaule la poutrelle métallique qui immobilisait son bras, déchirant l'acier fumant qui l'emprisonnait.
Et maintenant ? que faites vous ?
Sémirande est dans une coursive secondaire avec des kiffs fumants ou fumés d'un coté et un sas verrouillé de l'autre.
Khaadaric est à la sortie de la coursive principale à la hauteur de la station de transport dévastée. Devant lui les mêmes kiffs fumants et furibards et derrière lui le chemin menant aux docks.
Khrys est avec monsieur Baser dans une coursive technique, pour l'instant déserte.
Khaadaric tenta de se relever. Il avait mal. Les flammes ne lui avaient pas fait beaucoup de mal, mais le choc avait été rude. Il avait littéralement traversé le toit d'un wagon qui s'était ensuite renversé sur le flanc, l'immobilisant sous plusieurs centaines de kilogramme d'acier et de matériaux composites tordus. Les indications visibles dans son casque lui indiquait qu'il s'était luxé un genoux et qu'un de ses bras subissait actuellement une pression de l'ordre d'une 700 kg au cm carré. La combinaison énergétique compensait. IL ramena l'autre bras sous lui, cherchant un appuis. Le champ de force de son armure accompagna son mouvement, l'amplifia, lui permettant d'exercer une poussée de plusieurs tonnes. Lentement, mais de manière irrésistible, il se releva, émergeant des décombres, repoussant d'un mouvement d'épaule la poutrelle métallique qui immobilisait son bras, déchirant l'acier fumant qui l'emprisonnait.
Et maintenant ? que faites vous ?
Sémirande est dans une coursive secondaire avec des kiffs fumants ou fumés d'un coté et un sas verrouillé de l'autre.
Khaadaric est à la sortie de la coursive principale à la hauteur de la station de transport dévastée. Devant lui les mêmes kiffs fumants et furibards et derrière lui le chemin menant aux docks.
Khrys est avec monsieur Baser dans une coursive technique, pour l'instant déserte.