2010-10-23, 07:33 PM
//Bon, je suppose que le soldat est avec vous et qu’il est chargé comme un maillot jaune.
Ils quittèrent la zone réservée au Méphisto et utilisèrent les transports en commun : ils louèrent un petit wagon sur rail. Monsieur Baser régla l’ensemble des places afin qu’ils aient l’usage exclusif de la cabine 12 places. Il programma la destination : secteur de vie 1, celui qui était adapté aux humains. C’était spartiate, de simples sièges gonflables qui s’alignaient de part et d’autre de l’habitacle. Ils attendirent quelques secondes avant que le wagon ne se mette en route : il accéléra progressivement et s’accrocha à un convoie d’autres wagons qui se rendaient dans la même direction.
Le voyage dura une dizaine de minute. Dehors le quai défilait. Il y avait pas mal de navires, invisibles, dont seul le nom affiché sur de grand écran au dessus des sas s’embarquement permettaient de deviner leur identité, nationalité et tonnage. « Double six », « Opale de Lave », « Yyykahyu », « Papagayo », « Yta », « Colonel Goroyev » … Navire de guerre, trafiquants, Kiffish … il y avait de tout.
Ils obliquèrent bientôt en direction de l’axe central qui lui bénéficiait de gravité artificielle. Ils ralentirent, passèrent plusieurs sas avant d’arriver dans le secteur de vie 1. C’était une succession de coursives d’une dizaine de mètre de large au maximum, pour autant de hauteur. Le secteur de vie 1 était découpé en quartiers conçus sur un plan identique, pouvant être isolés en cas de besoin.
Leur wagon s’arrêta dans une des coursives commerçantes : une série ininterrompue de boutiques, d’étals temporaires s’alignaient. Une foule d’humains, de xénos, de logimecs, voir d’androïdes d’ancienne génération se pressaient dans une foule compact dans la rue.
Monsieur Baser demanda : quel est le programme des réjouissances ?
Ils quittèrent la zone réservée au Méphisto et utilisèrent les transports en commun : ils louèrent un petit wagon sur rail. Monsieur Baser régla l’ensemble des places afin qu’ils aient l’usage exclusif de la cabine 12 places. Il programma la destination : secteur de vie 1, celui qui était adapté aux humains. C’était spartiate, de simples sièges gonflables qui s’alignaient de part et d’autre de l’habitacle. Ils attendirent quelques secondes avant que le wagon ne se mette en route : il accéléra progressivement et s’accrocha à un convoie d’autres wagons qui se rendaient dans la même direction.
Le voyage dura une dizaine de minute. Dehors le quai défilait. Il y avait pas mal de navires, invisibles, dont seul le nom affiché sur de grand écran au dessus des sas s’embarquement permettaient de deviner leur identité, nationalité et tonnage. « Double six », « Opale de Lave », « Yyykahyu », « Papagayo », « Yta », « Colonel Goroyev » … Navire de guerre, trafiquants, Kiffish … il y avait de tout.
Ils obliquèrent bientôt en direction de l’axe central qui lui bénéficiait de gravité artificielle. Ils ralentirent, passèrent plusieurs sas avant d’arriver dans le secteur de vie 1. C’était une succession de coursives d’une dizaine de mètre de large au maximum, pour autant de hauteur. Le secteur de vie 1 était découpé en quartiers conçus sur un plan identique, pouvant être isolés en cas de besoin.
Leur wagon s’arrêta dans une des coursives commerçantes : une série ininterrompue de boutiques, d’étals temporaires s’alignaient. Une foule d’humains, de xénos, de logimecs, voir d’androïdes d’ancienne génération se pressaient dans une foule compact dans la rue.
Monsieur Baser demanda : quel est le programme des réjouissances ?