2012-01-10, 08:59 PM
Virik termina son cours, saluant ses élèves. Le dojo de la glorieuse volonté se trouvait au dernier étage de la mission. C’était élégant bâtiment de bois et de pierre à trois étages dont l’irimoya soutenu par de multiples colonnes laquées couvrait une vaste salle couverte dédiée aux arts martiaux.
Par les fenêtres ouvertes l’on pouvait voir l’astroport tout proche. Les varlets en partance, les navettes en approche, dessinaient dans le ciel maintenant noir un ballet de lucioles.
Virik reprit son souffle, massant sa main douloureuse tout en s’absorbant un instant dans le spectacle de lumières filantes qui s’offrait à lui. Il souffla par le nez puit fit demi-tour et regagna sa cellule au sous sol.
Un message l’attendait sur la tablette de communication murale. Il le lu avec attention et l’enregistra comme cela lui était demandé. Il appela ensuite un plan de la ville … Les collines du Belvédère … ce n’était pas si loin. Son sac était prêt, comme toujours. Ses armes l’attendaient à la consigne de l’astroport. Il reconfigura la pièce, faisant disparaître le sable qui en couvrait le sol, repliant le lit … Quelques minutes plus tard sa cellule était aussi propre et impersonnelle qu’il l’avait trouvé.
Son sac à la main, sa cape manteau sur les épaules il sortit de la mission, sans un regard derrière lui, s’enfonçant dans la nuit rendue lumineuse par l’éclairage publique, se dirigeant en direction de la plus proche station de cyrano.
Le voyage fut court, le réseau de transport publique était optimisé et particulièrement efficace.
Il grimpa la colline, empruntant le chemin qui traversait les jardins publique qui ornaient ses flancs. La résidence était à son sommet.
Il arriva à la porte de l’élégante demeure, s’arrêtant devant le portail de fer forgé dont les motifs disparaissaient sous le flot de lierres odorants. Il releva une oreille … il entendait des voix non loin. Plusieurs personnes étaient assemblées à l’extérieur. Il sonna … Ding Dong fit la cloche.
Par les fenêtres ouvertes l’on pouvait voir l’astroport tout proche. Les varlets en partance, les navettes en approche, dessinaient dans le ciel maintenant noir un ballet de lucioles.
Virik reprit son souffle, massant sa main douloureuse tout en s’absorbant un instant dans le spectacle de lumières filantes qui s’offrait à lui. Il souffla par le nez puit fit demi-tour et regagna sa cellule au sous sol.
Un message l’attendait sur la tablette de communication murale. Il le lu avec attention et l’enregistra comme cela lui était demandé. Il appela ensuite un plan de la ville … Les collines du Belvédère … ce n’était pas si loin. Son sac était prêt, comme toujours. Ses armes l’attendaient à la consigne de l’astroport. Il reconfigura la pièce, faisant disparaître le sable qui en couvrait le sol, repliant le lit … Quelques minutes plus tard sa cellule était aussi propre et impersonnelle qu’il l’avait trouvé.
Son sac à la main, sa cape manteau sur les épaules il sortit de la mission, sans un regard derrière lui, s’enfonçant dans la nuit rendue lumineuse par l’éclairage publique, se dirigeant en direction de la plus proche station de cyrano.
Le voyage fut court, le réseau de transport publique était optimisé et particulièrement efficace.
Il grimpa la colline, empruntant le chemin qui traversait les jardins publique qui ornaient ses flancs. La résidence était à son sommet.
Il arriva à la porte de l’élégante demeure, s’arrêtant devant le portail de fer forgé dont les motifs disparaissaient sous le flot de lierres odorants. Il releva une oreille … il entendait des voix non loin. Plusieurs personnes étaient assemblées à l’extérieur. Il sonna … Ding Dong fit la cloche.