2010-08-31, 07:57 PM
Les travaux étaient terminés … avec comme prévu quelques dizaines de minutes d’avance.
Gurvan et Sémirande n’avaient pas encore été autorisé à monter à bord. Les ingénieurs voulaient s’assuraient qu’aucune radiation, qu’aucun champ électrique, bref qu’aucun problème ne viendrait mettre en danger l’équipage, les passager, le navire.
On leur relaya cependant, par courtoisie, les relevés. Via leur plot c’est comme s’ils étaient aux commandes.
L’essentiel des logimecs du chantier quittèrent le bord, ne laissant que quelques senseurs à bord et les systèmes furent remis un à un en route.
Tous les voyants restèrent au vert.
Des vérins gravitiques soulevèrent le Méphisto. Des trains d’ondes de force frappèrent la coque, la tordirent de manière impressionnant, faisant vibrer la structure, amenant le navire aux limites de sa tolérance théorique.
Vu de l’intérieur c’était l’enfer. Une tempête gravitique martelait leur navire … des tubulures lâchèrent, des voyant passèrent à l’orange, deux plaques se détachèrent dans une coursive… Mais pas de radiation, les systèmes secondaires prirent le relais correctement. Au bout de six minutes cela cessa.
Les logimecs re-rentrèrent afin de réparer les dommages et de vérifier, remplacer au besoin, les éléments qui avaient donné des signes de faiblesse.
L’on put passer au vol d’essai : un des ingénieurs monta à bord, accompagné d’un pilote de la capitainerie. Néanmoins celui-ci ne piloterait que jusqu’à une zone réservé à leurs tests et leur confirait ensuite les commandes.
Alors qu’ils s’apprêtaient à partir pour ce vol ils furent avertis que monsieur Baser était de retour : il était seul avec un petit camion bulle remplit de ses effets personnels …
Gurvan et Sémirande n’avaient pas encore été autorisé à monter à bord. Les ingénieurs voulaient s’assuraient qu’aucune radiation, qu’aucun champ électrique, bref qu’aucun problème ne viendrait mettre en danger l’équipage, les passager, le navire.
On leur relaya cependant, par courtoisie, les relevés. Via leur plot c’est comme s’ils étaient aux commandes.
L’essentiel des logimecs du chantier quittèrent le bord, ne laissant que quelques senseurs à bord et les systèmes furent remis un à un en route.
Tous les voyants restèrent au vert.
Des vérins gravitiques soulevèrent le Méphisto. Des trains d’ondes de force frappèrent la coque, la tordirent de manière impressionnant, faisant vibrer la structure, amenant le navire aux limites de sa tolérance théorique.
Vu de l’intérieur c’était l’enfer. Une tempête gravitique martelait leur navire … des tubulures lâchèrent, des voyant passèrent à l’orange, deux plaques se détachèrent dans une coursive… Mais pas de radiation, les systèmes secondaires prirent le relais correctement. Au bout de six minutes cela cessa.
Les logimecs re-rentrèrent afin de réparer les dommages et de vérifier, remplacer au besoin, les éléments qui avaient donné des signes de faiblesse.
L’on put passer au vol d’essai : un des ingénieurs monta à bord, accompagné d’un pilote de la capitainerie. Néanmoins celui-ci ne piloterait que jusqu’à une zone réservé à leurs tests et leur confirait ensuite les commandes.
Alors qu’ils s’apprêtaient à partir pour ce vol ils furent avertis que monsieur Baser était de retour : il était seul avec un petit camion bulle remplit de ses effets personnels …