Propulsion - Printable Version +- Archives Galactiques (https://pbf.empiregalactique.site) +-- Forum: Premières Aventures (https://pbf.empiregalactique.site/forumdisplay.php?fid=126) +--- Forum: PBF Empire Galactique (ancien site de Narbeuh) (https://pbf.empiregalactique.site/forumdisplay.php?fid=63) +---- Forum: Généralités (https://pbf.empiregalactique.site/forumdisplay.php?fid=55) +----- Forum: Hors-jeu, digressions et autres délires. (https://pbf.empiregalactique.site/forumdisplay.php?fid=79) +----- Thread: Propulsion (/showthread.php?tid=765) Pages:
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- Sémirande Chalmak - 2007-02-24 Je crois qu'il va effectivement falloir en passer par là (attendez mon courriel de lundi soir). - SPQR - 2007-02-24 Sémirande Chalmak Wrote:Je crois qu'il va effectivement falloir en passer par làLà je crois que c'est à moi de jouer l'avocat du diable, comme tu sais si bien le faire... Empire Galactique reste de la Sci-Fi et les collecteurs de bussard une hypothèse. Déjà à cause de la taille nécessaire du collecteur de la moitié de la taille de Saturne, d'un champ magnétique d'au moins 10 millions de Tesla (sans mentionner la puissance nécessaire pour l'obtenir et le fait que ça grillerait un peu près tout), de la présence de dihydrogène, surtout, qui rendrait la fusion moins efficace, que la réaction de fusion n'est pas si rapide, que les particules chargées attirées par le champ magnétique auront tendance à rebondire avant d'atteindre le collecteur,... Khrys Wrote:Avec l'AM, son utilisation n'est utile que pour générer de l'energie. Car si tu ejecte un antiproton, la premiere chose qu'il va faire, c'est rencontrer un proton, et s'annihiler en energie. Donc plus de masse, et donc absence de poussée.C'est ce que je croyais aussi, jusqu'à ce que je lise ça : Antimatter Spacecraft: No engine is likely to generate superluminal speeds; the laws of physics prevent us from doing that, but we will be able to go many times faster than our current propulsion methods allow. A matter-antimatter engine will take us far beyond our solar system and let us reach nearby stars in a fraction of the time it would take a spacecraft propelled by a liquid-hydrogen engine, like the one used in the space shuttle. So, why haven't we built a matter-antimatter reaction engine? The problem with developing antimatter propulsion is that there is a lack of antimatter existing in the universe. If there were equal amounts of matter and antimatter, we would likely see these reactions around us. Since antimatter doesn't exist around us, we don't see the light that would result from it colliding with matter. Matter-antimatter propulsion will be the most efficient propulsion ever developed, because 100 percent of the mass of the matter and antimatter is converted into energy. When matter and antimatter collide, the energy released by their annihilation releases about 10 billion times the energy that chemical energy such as hydrogen and oxygen combustion, the kind used by the space shuttle, releases. Matter-antimatter reactions are 1,000 times more powerful than the nuclear fission produced in nuclear power plants and 300 times more powerful than nuclear fusion energy. So, matter-antimatter engines have the potential to take us farther with less fuel. The problem is creating and storing the antimatter. There are three main components to a matter-antimatter engine: Magnetic storage rings - Antimatter must be separated from normal matter so storage rings with magnetic fields can move the antimatter around the ring until it is needed to create energy. Feed system - When the spacecraft needs more power, the antimatter will be released to collide with a target of matter, which releases energy. Magnetic rocket nozzle thruster - Like a particle collider on Earth, a long magnetic nozzle will move the energy created by the matter-antimatter through a thruster. Approximately 10 grams of antiprotons would be enough fuel to send a manned spacecraft to Mars in one month. Today, it takes nearly a year for an unmanned spacecraft to reach Mars. In 1996, the Mars Global Surveyor took 11 months to arrive at Mars. Scientists believe that the speed of an matter-antimatter powered spacecraft would allow man to go where no man has gone before in space. It would be possible to make trips to Jupiter and even beyond the heliopause, the point at which the sun's radiation ends. But it will still be a long time before astronauts are asking their starship's helmsman to take them to warp speed. Le site est en rade depuis hier, mais le cache était disponible. Il donne également d'autres informations sur les collecteurs de Bussard. Problems with Interstellar Travel Autre site très intéressant avec de belles illustrations : Bussard Interstellar Ramjet Ils ont même envisagé le freinage élctromagnétique à l'aide d'un cable sous tension :roll: - Khrys - 2007-02-24 Rien n'est précisé sur la propulsion... seulement la production et utilisation de l'anti-matière. Car actuellement, il nous faut une masse de propulsion pour avancer... Peut etre qu'en couplant un generateur d'énergie à AM et un réacteur Bussard pour la propulsion? De plus, je lis qu'il faut atteindre 6% de la vitesse de la lumiere pour pouvoir amorcer la propulsion bussard!!! - Sémirande Chalmak - 2007-02-24 D'où le fait que les MP utilisent peut-être autre chose pour démarrer. - Fronde gravitationnelle ? - Lanceur à induction ? - Réservoirs supplémentaires ? Je crains que l'on aille pas bien loin avec ces systèmes ... - SPQR - 2007-02-24 Réservoirs pleins (reremplis en cours de route pour les manoeuvres finales d'insertion orbitale) et, en me référant à un docu-fiction que j'ai sur K7 vidéo (que j'ai revu il y a deux semaines), pour le départ, assistance gravitationnelle en utilisant les planètes du système de départ. Assistance gravitationnelle : aka réaction de gravitation, fronde gravitationnelle ou effet catapulte (slingshot effect). Maintenant on peut imaginer une assistance supplémentaire au départ avec des accélérateurs d'appoint : - voile déployable solaire (deuxième génération) - propulseurs d'appoint à antimatière (dernière génération NT5) - propulseurs d'appoint à poudre (peu probable par manque d'efficacité), nucléaire (sur le principe de la propulsion nucléaire pulsée comme pour le Projet Orion), ou à fusion nucléaire (comme pour le Projet Daedalus) |