2014-02-14, 10:47 PM
Le vol devait durer environ 24 heures, soit quatre quarts de six heures.
Spoutkin s'installa confortablement pendant son quart de repos dans sa propre cabine. Il s'installa sur sa couche en zazen, réduisant la lumière.
Dans la semi obscurité, pendant que Théo assurait son quart, il se concentra sur sa respiration. Il tourna son troisième œil vers l'intérieur de son esprit, créant un dissociation entre ses lobes cérébraux.
Doucement il se concentra, créant en face de lui une image mentale de son être intérieur. Entre ses paupières entrouvertes il lui sembla que l'air lui faisant place se densifiait. Il lui sembla que ses chakras s'ouvraient déversant son énergie en direction de l'homoncule qu'il distinguait de plus en plus clairement devant lui.
Enfin Il put ouvrit les yeux. Il se faisait face, son corps était toujours sur sa couche, légèrement avachie ... marrant il se disait toujours que sa raie était du mauvais coté quand il se faisait face. Pas le temps d'épiloguer : il n'avait qu'une dizaine de minutes devant lui.
Il se glissa en silence, sourd à tout son, dans les cabines des passagers. Le songe obéissait à des haires de jour et de nuit où les lumières dans les parties communes, dans le petit jardin, étaient réduites. Cela n'avait pas beaucoup de sens dans l'espace, mais était nécessaire à beaucoup d'organismes vivants.
Hélas ses investigations ne furent pas extrêmement fructueuse. Trois des passagers, les trois hommes, dormaient. Et ils dormaient dans l'obscurité. Si ses talents lui permettaient de se dématérialiser, ils ne lui permettaient pas de voir dans l'obscurité. De même l'intérieur des poches et des bagages étaient rarement éclairés de l'intérieur.
Mademoiselle Léa quant à elle était encore en train de travailler. Elle portait un Long T-shirt portant les armes de l’équipe de hussarde la loge techno de Mandrake. Il se fit l’effet d’un voyeur alors qu’il se reculait à l’abri du placard alors qu’elle se retournait. Intuition ? Mouvement, changement de luminosité qui avait attiré son attention ? Tout juste eut-il le temps d’apercevoir la jeune femme en train de travailler sur une palette graphique à la conception d’une affiche tri-D. Il regagna rapidement sa cabine et réintégra son corps.
Spoutkin s'installa confortablement pendant son quart de repos dans sa propre cabine. Il s'installa sur sa couche en zazen, réduisant la lumière.
Dans la semi obscurité, pendant que Théo assurait son quart, il se concentra sur sa respiration. Il tourna son troisième œil vers l'intérieur de son esprit, créant un dissociation entre ses lobes cérébraux.
Doucement il se concentra, créant en face de lui une image mentale de son être intérieur. Entre ses paupières entrouvertes il lui sembla que l'air lui faisant place se densifiait. Il lui sembla que ses chakras s'ouvraient déversant son énergie en direction de l'homoncule qu'il distinguait de plus en plus clairement devant lui.
Enfin Il put ouvrit les yeux. Il se faisait face, son corps était toujours sur sa couche, légèrement avachie ... marrant il se disait toujours que sa raie était du mauvais coté quand il se faisait face. Pas le temps d'épiloguer : il n'avait qu'une dizaine de minutes devant lui.
Il se glissa en silence, sourd à tout son, dans les cabines des passagers. Le songe obéissait à des haires de jour et de nuit où les lumières dans les parties communes, dans le petit jardin, étaient réduites. Cela n'avait pas beaucoup de sens dans l'espace, mais était nécessaire à beaucoup d'organismes vivants.
Hélas ses investigations ne furent pas extrêmement fructueuse. Trois des passagers, les trois hommes, dormaient. Et ils dormaient dans l'obscurité. Si ses talents lui permettaient de se dématérialiser, ils ne lui permettaient pas de voir dans l'obscurité. De même l'intérieur des poches et des bagages étaient rarement éclairés de l'intérieur.
Mademoiselle Léa quant à elle était encore en train de travailler. Elle portait un Long T-shirt portant les armes de l’équipe de hussarde la loge techno de Mandrake. Il se fit l’effet d’un voyeur alors qu’il se reculait à l’abri du placard alors qu’elle se retournait. Intuition ? Mouvement, changement de luminosité qui avait attiré son attention ? Tout juste eut-il le temps d’apercevoir la jeune femme en train de travailler sur une palette graphique à la conception d’une affiche tri-D. Il regagna rapidement sa cabine et réintégra son corps.