2012-05-02, 05:11 PM
Au moment de monter dans le Tracevide pour rejoindre le chantier, Cuperno se présenta tel que quelques mois plus tôt, alors qu'il voulait quitter Vonda. Si Gorm était là, il aurait tout de même constaté quelques changements importants.
Il était vêtu d'une tenue de voyage simple et pratique, la même qu'il portait dans sa doudoune, les odeurs en moins comme avait pu le vérifier Sémirande. Il portait un sac à dos volumineux, une grosse mallette métallique et un sac en bandoulière. C'est sa nouvelle solde de gestionnaire de bord "à l'essai" qui lui avait permis ce dernier ajout à la fois esthétique et déjà fort bien rempli.
Contrairement à son précédent départ, le sac à dos était ouvert. Gédéon laissait paresseusement sa tête dépasser, observant la scène les yeux mi-clos.
Autre changement notable : le regard de Cuperno. Il était cette fois rayonnant, sûr de lui.
C'est donc chargé comme une mule sacarii que Cuperno monta à bord du Gerfaut. Il empila ses affaires près de sa place, comme s'il craignait qu'on puisse lui subtiliser quelque chose.
Pendant tout le trajet il alterna entre rêveries béates et manifestations d'enthousiasme volubiles.
Gédéon en profita pour s'endormir pour de bon.
En arrivant près du Lilith, Cuperno était aux premières loges. On aurait pu croire qu'il avait conçu le vaisseau lui-même à la manière dont il le regardait. Il ne rata rien de la manœuvre d'approche.
Alors que le Gerfaut s'amarrait, il reprit son sac en bandoulière, son sac à dos et sa mallette, prêt à débarquer, à investir leur nouveau royaume.
Gédéon s'éveilla en baillant, contraint de contempler l'intérieur du Tracevide quand tout le monde attendait l'ouverture du sas.
Cuperno descendit et se rendit directement à la cabine qui lui avait été attribuée.
Il posa ses affaires et rejoignit le reste de l'équipage, admirant le Lilith comme si c'était la première fois. Il expliqua néanmoins à Khrys les subtilités de certains aménagements à bord.
Pendant les jours qui allaient suivre, on allait croiser Gédéon un peu partout sur le vaisseau. Il semblait inspecter chaque recoin de sa nouvelle demeure, et s'éclipsait nonchalamment à chaque fois qu'il était aperçu, comme si la présence d'autrui le dérangeait.
C’était devenu un jeu que de l’apercevoir et de deviner où il pouvait bien se trouver.
Il était vêtu d'une tenue de voyage simple et pratique, la même qu'il portait dans sa doudoune, les odeurs en moins comme avait pu le vérifier Sémirande. Il portait un sac à dos volumineux, une grosse mallette métallique et un sac en bandoulière. C'est sa nouvelle solde de gestionnaire de bord "à l'essai" qui lui avait permis ce dernier ajout à la fois esthétique et déjà fort bien rempli.
Contrairement à son précédent départ, le sac à dos était ouvert. Gédéon laissait paresseusement sa tête dépasser, observant la scène les yeux mi-clos.
Autre changement notable : le regard de Cuperno. Il était cette fois rayonnant, sûr de lui.
C'est donc chargé comme une mule sacarii que Cuperno monta à bord du Gerfaut. Il empila ses affaires près de sa place, comme s'il craignait qu'on puisse lui subtiliser quelque chose.
Pendant tout le trajet il alterna entre rêveries béates et manifestations d'enthousiasme volubiles.
Gédéon en profita pour s'endormir pour de bon.
En arrivant près du Lilith, Cuperno était aux premières loges. On aurait pu croire qu'il avait conçu le vaisseau lui-même à la manière dont il le regardait. Il ne rata rien de la manœuvre d'approche.
Alors que le Gerfaut s'amarrait, il reprit son sac en bandoulière, son sac à dos et sa mallette, prêt à débarquer, à investir leur nouveau royaume.
Gédéon s'éveilla en baillant, contraint de contempler l'intérieur du Tracevide quand tout le monde attendait l'ouverture du sas.
Cuperno descendit et se rendit directement à la cabine qui lui avait été attribuée.
Il posa ses affaires et rejoignit le reste de l'équipage, admirant le Lilith comme si c'était la première fois. Il expliqua néanmoins à Khrys les subtilités de certains aménagements à bord.
Pendant les jours qui allaient suivre, on allait croiser Gédéon un peu partout sur le vaisseau. Il semblait inspecter chaque recoin de sa nouvelle demeure, et s'éclipsait nonchalamment à chaque fois qu'il était aperçu, comme si la présence d'autrui le dérangeait.
C’était devenu un jeu que de l’apercevoir et de deviner où il pouvait bien se trouver.